PAP, Crédit : La domiciliation des salaires influence les taux

Comme ne manque pas de le souligner le courtier Vousfinancer, « une banque a d'ores et déjà indiqué sur son barème une réduction de 0,30% en cas de domiciliation et une majoration de 30 points de base si le client ne le souhaite pas ». D'autres banques indiquent déjà qu'une réduction est consentie et qu'en cas de cessation de domiciliation, cette réduction ne s'applique plus.

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Capital, Prêt Immobilier : Bientôt plus simple de changer de banque pour les emprunteurs

Jusqu’ici les emprunteurs étaient, en effet, pieds et poings liés avec leur établissement bancaire. Une majorité d’offres de prêts immobiliers était assortie de conditions de domiciliation de revenu. “Parfois même avec des pénalités sur le taux pour les clients qui décidaient de s’affranchir des règles imposées et d’aller voir ailleurs”, assure Sandrine Allonier, responsable des relations banques chez le courtier immobilier Vousfinancer.

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Challenges, Immobilier : Les conseils pour se lancer dans un prêt-relais en limitant les risques

Un emprunteur peut demander un prêt-relais s'il vient de trouver la maison de ses rêves et ne veut pas que l'occasion lui passe sous le nez. En attendant de vendre son premier bien, il va devoir payer l'ancienne mensualité et la mensualité de sa nouvelle acquisition en même temps. Plus il vendra vite, mieux ce sera. Le prêt-relais classique peut s'avérer risqué. Mais en général, les banques refusent ce type d'opération dans les zones non tendues, c'est-à-dire là où l'offre est largement supérieure à la demande et dans les régions sinistrées au niveau immobilier, assure Marie-Pascale Tribotté de chez Vousfinancer. Et il existe de nouvelles formules de prêt-relais plus avantageuses et peu onéreuses : le prêt-relais achat revente et le prêt-relais rachat. Explications et conseils de Sandrine Allonier, Directrice des relations banques chez Vousfinancer.

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Les Echos, Crédit Immobilier : Une réforme pour pas grand chose

Les banques en ont déjà pris acte : d'ores et déjà, la domiciliation n'est plus forcément synonyme de rentabilité. « L'une de nos banques partenaires a décidé d'appliquer un barème moins avantageux aux clients dont elle rachète le crédit. Même si elle obtient la domiciliation des revenus, elle sait que dans le cas d'un rachat, un certain nombre d'actifs et de dépôts restent dans la banque initiale », souligne Sandrine Allonier, responsable des relations banques chez Vousfinancer.

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Les Echos, Immobilier : Comment les courtiers se préparent à la hausse des taux du crédit immobilier

La baisse des taux a dopé leur activité et leur notoriété. Les courtiers espèrent que la remontée va les rendre indispensables.

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ExplorImmo, Crédit Immobilier : Renégocier son crédit immobilier vaut-il encore le coup ?

Les niveaux d’emprunt encore très faibles permettent par exemple à tous ceux dont les taux dépassent les 2,6 % de demander une renégociation. "Un crédit de 200 000 € sur 20 ans souscrit en janvier 2016 à 2,40 % et renégocié actuellement à 1,60 % sur 18 ans permet d’économiser 48 € par mois et 10 700 € au total", rappelle Vousfinancer.

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L'Agefi Actifs, Immobilier : Les renégociations de prêts en chute depuis le mois d'avril

La parenthèse des renégociations de prêt toucherait à sa fin selon le courtier en crédit VousFinancer. « Les demandes de renégociation de prêt ont fortement chuté pour représenter actuellement 5 % des dossiers de crédit contre 26 % en septembre 2016 », indique le courtier dans son dernier communiqué. Une des explications viendrait de la remontée des taux de crédit, passés de 1,40 % à 1,70 % en moyenne sur 20 ans depuis novembre 2016. Le courtier souligne toutefois que si la part des renégociations diminue, les demandes de prêts continuent d’augmenter en raison de l’appétence des investisseurs pour la pierre. « Le nombre de dossiers de crédits traités est en hausse de 47 % sur les cinq premiers mois  de l’année par rapport à 2016, et ce malgré le contexte de remontée des taux ».

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SeLoger, Courtage : Comment bien choisir son courtier pour obtenir un prêt immobilier ?

Le premier critère que vous devez étudier pour savoir si vous avez affaire à un courtier sérieux sera de vérifier s’il s’agit bien d’un courtier agréé. En effet, pour être agréé, il doit détenir un diplôme niveau 1 via l’Intermédiaire en Opérations de Banque et Solutions de Paiement (IOBSP), car il est obligatoire pour les intermédiaires bancaires dont les courtiers immobiliers font partie. Vérifiez qu'il soit immatriculé auprès de l’ORIAS (l’Organisme pour le Registre des Intermédiaires en Assurance), car cette immatriculation est obligatoire pour exercer une activité de courtage. Il doit donc détenir un numéro et une attestation, et ce numéro doit figurer sur les documents de sa société de courtage, tels que la publicité, le site internet, le mandat, etc.

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C Banque, Prêt Immobilier : Que penser de la clause de transfert ?

L’opération peut s’avèrer coûteuse pour la banque. En 2020, transférer un prêt de 1,60% sur 20 ans souscrit en 2017 sera évidemment moins rentable que d'octroyer un nouveau crédit de 3% (taux hypothétique). Raison pour laquelle certaines banques ont « suspendu cette option début 2016 » comme le soulignait à l’époque Sandrine Allonier, directrice des relations banques de VousFinancer, dans un communiqué.

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Les Echos, Banque : Les banques vont devoir encore faire le dos rond

A l'oeuvre depuis maintenant plusieurs années, ce jeu de rachat de créances permet néanmoins aux banques de gonfler leur fonds de commerce ou, tout du moins, de le maintenir à flot lorsque la concurrence est féroce. Et c'est pourquoi, en dépit de la petite remontée des taux d'intérêt observée ces derniers mois, le phénomène perdure. « Les banques régionales restent très offensives dans le rachat de prêt. Au mois de mai, cinq banques ont encore baissé leur taux », fait valoir Sandrine Allonier, responsable des relations banques pour le courtier Vousfinancer.

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